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Le blog des profondeurs...
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La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...

LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde  avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...

Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...

Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ? 
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...

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LES FEUX DE LA RAMPE

(Limelight) Écrit et réalisé par Charles CHAPLIN - USA 1952 2h27 VOSTF - avec Buster Keaton, Claire Bloom, Sydney Chaplin, Charles Chaplin...

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

LES FEUX DE LA RAMPELes feux de la rampe aurait pu être le dernier film de Charles Chaplin. Le réalisateur en a encore tourné deux ensuite, en Europe, mais Limelight, sorti en 1952, sonne comme son testament. Triple testament même que ce film. Celui d’un clown, Cravero, dont le nom suffisait jadis pour remplir les salles et qui doit aujourd’hui en changer pour décrocher de petits contrats. Celui d’un réalisateur, Chaplin, blessé par l’échec public de son film précédent, Monsieur Verdoux. Celui d’un homme enfin, qui reconstitue en studio le Londres de son enfance et qui fait jouer sa famille pour travailler dans la douceur. En grande partie autobiographique, le film porte en lui une profonde tristesse, mais une grande tendresse aussi. Chaplin émeut, tire les larmes, s’étale un peu, en rajoute trop par moments dans les sanglots et la morale, fait rire aussi, comme Cravero qui revit le temps d’une soirée de gala dans laquelle il laissera son cœur fatigué. L’acteur qui joue son partenaire ce soir-là a lui aussi été roi et son nom a également disparu des affiches : Buster Keaton. Pas de doute, Les feux de la rampe est bien, comme le souligne Bertolucci, « la recherche du temps perdu de Charles Chaplin ». (avoir-alire.com)