UTOPIA SAINTE BERNADETTE
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Coopérative QUI VIVRA BÉRAT habitat partagé en évolution la Ménardière
Une autre façon de vivre ? Une autre façon de vieillir ? Voilà 4 ans, qu’un groupe de retraités a investi le Domaine de la Ménardière en créant une coopérative. Objectif : Vivre et vieillir ensemble solidaires et actifs jusqu’au bout du chemin. Chambres d’hôtes, Conc...

SÉANCES BÉBÉS
  Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pou...

30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...

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LA DERNIÈRE CORVÉE

(The Last detail) Hal HASHBY - USA 1974 1h45mn VOSTF - avec Jack Nicholson, Otis Young, Randy Quaid, Clifton James, Carol Kane... Scénario de Robert Towne, d’après le roman de Darryl Ponicsan.

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

LA DERNIÈRE CORVÉEBilly Buddusky (Jack Nicholson) et Mulhall (Otis Young), deux marins de l’US Navy stationnés à Norfolk en Virginie, reçoivent la mission d’escorter l’un de leurs jeunes collègues, Larry Meadows (Randy Quaid), vers un centre de détention militaire à Portsmouth dans le New Hampshire. Il doit y purger une peine de huit ans d’internement pour avoir tenté de piquer la caisse d’une association caritative de la marine...

Un rebelle qui joue les désabusés, une boule de nerfs capable de tout : Buddusky est un antihéros emblématique du Nouvel Hollywood des années 1970. Diatribes injurieuses contre les peine-à-jouir en général et l’armée en particulier, explosions de colère homériques... Jack Nicholson apporte toute sa démesure à ce sous-off contestataire. Toute son humanité, aussi : au fil de leur périple dans une Amérique hivernale, Buddusky se prend d’affection pour son prisonnier, pauvre gosse condamné à une peine trop lourde, et décide d’agrémenter ses derniers jours de liberté. Première nuit au bordel, première cuite... Et douloureuse gueule de bois, au terme d’un road movie urbain, drôle et mélancolique, où Hal Ashby souffle constamment le chaud et le froid.

(S. Douhaire, Télérama)